La Maison du Chausseur: marque en propre du premier fournisseur d’embauchoirs en Europe
Fondée en 2014, La Maison du Chausseur est la marque en propre du premier fournisseur d’embauchoirs en Europe, et d’un des premiers fournisseurs de chaussettes en fil d’Ecosse.
Derrière cette structure se cache un passionné de souliers, Matthieu Dominé-Besson , qui est aussi un fin connaisseur des ateliers chinois.
En moins d’une dizaine d’années, celui-ci à réussi à amener ces ateliers aux meilleurs standards de qualité français et européens sur les embauchoirs et les chaussettes.
La recette de son succès ? C’est de réussir à proposer des produits équivalents à ce qui se fait de mieux en Europe avec la même exigence sur les matières premières (bois français et canadiens, fil d’Ecosse avec fibre extra-longue) à un prix imbattable grâce à:
– des ateliers ultra-modernes avec des automatisations pertinentes couplé à du fait main sur les étapes qui comptent: les embauchoirs sont découpés au laser mais ensuite poncés à la main au papier de verres, les chaussettes en fil d’Ecosse sont remaillées main
– de très grosses économies d’échelles: Matthieu fait produire pour des dizaines de marques et peut donc bénéficier de grosses économies d’échelles pour la production de sa marque en propre, La Maison du Chausseur
Les chaussettes Outremer et Marine ont été pensées pour ceux qui portent des chaussures de ville tous les jours, montent et descendent des escaliers, enchaînent les trajets métro/bureau… bref, pour un usage intensif qui fait souffrir les paires classiques.
Ici, on part bien d’une base noble : un coton de type fil d’Écosse pour le toucher, la finesse et la capacité à prendre la couleur. Mais ce fil est intelligemment mêlé à une forte proportion de nylon, complétée par une pointe d’élasthanne.
Concrètement, chaque fibre joue un rôle très précis :
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Le coton fil d’Écosse assure le contact avec la peau : respirant, doux, agréable même en été, avec ce léger lustre caractéristique qui donne tout de suite un aspect plus habillé.
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Le nylon sert de véritable armature interne. Il encaisse les frottements répétés dans la chaussure, résiste mieux aux lavages fréquents, limite les risques de trous au talon et à la pointe.
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L’élasthanne stabilise l’ensemble, garantit une chaussette qui se plaque bien contre la jambe sans comprimer, et qui ne se détend pas après quelques mois.
On obtient ainsi un blend “super solide” qui réussit ce que les chaussettes 100 % coton font rarement : combiner l’agrément et l’élégance du fil d’Écosse avec la durabilité d’un textile technique.
Le fil d’Ecosse, c’est quoi ?
La structure à côtes n’est pas qu’un choix esthétique. Elle permet :
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une élasticité naturelle de la tige,
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une meilleure tenue sur le mollet,
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et une répartition plus harmonieuse des tensions dans la fibre à chaque pas.
Associée au blend coton/nylon, cette construction donne une chaussette qui garde sa forme au fil des ports et des lavages, là où un modèle plus fin ou trop “mode” va rapidement pocher ou glisser.
Le résultat, c’est une paire de chaussettes de ville que l’on peut porter deux, trois, quatre fois par semaine dans une rotation raisonnable, sans avoir l’impression de les “brûler” en un trimestre.
Sur ces modèles, La Maison du Chausseur applique les mêmes standards que sur ses gammes plus habillées :
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Remaillage fin à la pointe, pour éviter la grosse surépaisseur qui cisaille les orteils dans une chaussure ajustée.
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Tricot plus dense au talon et à l’avant-pied, où les frottements sont les plus intenses. Le nylon du blend vient ici jouer les renforts invisibles : plus de matière par centimètre carré, donc plus de résistance mécanique.
On reste donc sur une chaussette de ville élégante, mais avec une philosophie presque “workwear” : c’est propre, sobre, mais pensé pour encaisser.
Ces chaussettes super solides sont proposées en lot de deux paires, dans deux nuances de bleu qui couvrent l’essentiel d’un vestiaire professionnel.
Outremer
Un bleu légèrement plus vif, idéal pour sortir du sempiternel marine sans tomber dans la fantaisie gratuite. Avec un costume bleu moyen, un blazer croisé ou un chino beige, il apporte juste ce qu’il faut de relief à la cheville, surtout quand le reste de la tenue reste très sobre.
Marine
Le registre le plus formel. C’est le bleu qui disparaît dans le pli du pantalon, celui que l’on porte avec les costumes sombres, les derbies noires ou bordeaux, les journées d’audience ou de rendez-vous clients successifs.
